Derrière tout grand homme il est une femme aussi sublime; et derrière tout prophète se trouve une myriade de femmes de génie.
En signe de reconnaissance, Gibran leur a élévé ce poème :
"Je dois à la femme toute ma vie,
Je lui dois ce moi qui est né d'un cri,
Je lui dois tous mes écrits.
La femme m'a dessillé les yeux.
La femme m'a descellé l'âme.
Sans la femme-mère,
La femme-soeur et la femme amie,
J'aurais sommeillé parmi ceux pour qui
La somnolence est une divinité
Et la vénérer c'est ronfler."